— Alors, que veux-tu me dire Thomas ?
— Je pense être trop intelligent pour rester dans cette classe, je m’embête ! Je voudrais passer directement au Lycée.
Sur ce, le directeur informé, demande à Thomas s’il veut bien passer des tests.
Thomas accepte sans hésiter et le directeur commence le test.
— Voyons voir Thomas : 3 X 4 ?
— Douze !
— Et 6 X 6 ?
— Trente six, M. le directeur.
— Capitale du Japon ?
— Tokyo !
Le test continue pendant une demi—heure, Thomas ne fait aucune erreur !
A la fin du test, le directeur est satisfait mais la prof demande si elle peut à son tour lui poser des questions.
Tous les deux acceptent. La prof commence :
— Bon, Thomas, la vache, elle en a 4 et moi j’en ai 2, qu’est—ce que c’est ?
— Les jambes, madame.
— Correct, qu’est—ce qu’on trouve dans tes pantalons et pas dans les miens ?
Le directeur s’étonne de la question...
— Des poches, madame.
— Bien Thomas, où est—ce que les femmes ont les poils les plus frisés ?
Le directeur se prépare à intervenir lorsque Thomas répond :
— En Afrique, Madame ! répond le gamin sans hésiter.
— Qu’est—ce qui est mou mais qui, avec les mains d’une femme, devient dur ?
Le directeur ouvre grands les yeux mais avant de parler, Thomas répond :
— Le vernis à ongles, madame.
— Qu’est—ce que les hommes et nous les femmes avons au milieu des jambes ?
— Les genoux, madame !
— Bien, et qu’est—ce qu’une femme mariée a de plus large qu’une femme célibataire ?
_ Le directeur n’en croit pas ses oreilles.
— Le lit, madame.
— Quelle est la partie de mon corps qui est souvent la plus humide ?
— Votre langue, madame.
— Quel mot commençant par la lettre C... désigne quelque chose qui peut—être humide ou sec et que les hommes aiment regarder ?
— Le ciel ! Affirme Thomas.
Le directeur soufflant, transpirant comme un sauvage décide d’arrêter le test et s’exclame :
— Ce n’est pas au lycée que je vais t’envoyer mais directement à l’Université ! Même moi j’aurais tout raté à ce test...
Morale de l’histoire : [1]